Les coûts liés à la retraite représentent aujourd’hui 15% du PIB, contre 5% en 1959.
Ils expliquent « deux tiers » de la progression des dépenses publiques en 60 ans.
Et ils expliquent même, indirectement, la montée du chômage ainsi que l’incapacité à résorber les déficits publics.
Du fait de la baisse de la natalité mais surtout de l’allongement spectaculaire de l’espérance de vie, l’évolution du rapport entre le nombre d’actifs et d’inactifs ne permettra pas de maintenir le système actuel de retraite par répartition en l’état.
Les pensions vont baisser. Ça a déjà commencé avec l’allongement de l’âge de départ à la retraite ou encore la désindexation sur l’inflation.
Les Français doivent comprendre qu’ils ne peuvent plus compter que sur l’État pour percevoir retraite suffisante.
Si l’épargne des ménages est aussi pléthorique, c’est en partie pour financer la retraite.
Le PER a tous les atouts du placement incontournable et attractif.
La flexibilité : versements libres, programmés ou ponctuels ; choix très variés de supports (fonds euros, fonds d’actions, Pierre Papier, etc.) sur lesquels investir.
Capital disponible à la retraite sous forme de rente et/ou de retraits en capital.
La fiscalité : les sommes versées sont déductibles (dans certaines limites) du revenu imposable, ce qui permet donc une réduction d’impôt égale à votre TMI (11%, 30%, 41% ou 45%).
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